12/11/2006 à 14:00
Arles - FCS74, vu des tribunes
Dans les arrêts de jeu de cette première période, les Croix de Savoie se procurèrent une belle occasion d'ouvrir le score, Potier, d'un bel extérieur du pied lançant Liogier en profondeur, lequel grillait la politesse à la défense locale.
Malheureusement il ne contrôla pas le ballon de la meilleure des manières et ne put armer sa frappe comme il le désirait. D'ailleurs c'est un défenseur, revenu sur lui qui poussa le ballon que le gardien local capta sans problème. Dommage, mais ce but aurait été à l'encontre de la physionomie du match. L'équipe d'Arles sortait vainqueur de plus de duels, arrivait mieux à poser son jeu en jouant rapidement, mais elle n'arrivait cependant pas à se créer de grosses occasions. Les Croix de Savoie répondaient par une belle solidarité défensive, en se montrant très sérieux dans leur placement (à noter que Dino évoluait en défense à la place qu'occupe généralement Romain Chevrier, ce dernier ayant pris la place occupée normalement par Dino, au milieu).
Le tournant du match eut lieu un quart d'heure après la pause avec ce penalty accordé au FCS 74. A partir de ce moment, on ne compris plus grand chose à l'arbitrage. Coquio faisait le spectacle entre trois défenseurs locaux, dans un espace très restreint puis un arlésien se retrouvait à terre dans le coin de la surface et puis là penalty. Tous les supporters du FCS 74 se regardèrent avec étonnement et retinrent un peu leur joie lorsque Camacho transforma le penalty.
Engagement d'Arles. L'arbitre le fait rejouer car les locaux ont joué trop vite. Sur le nouvel engagement, Dino fait une faute le long de la ligne de touche, un milieu arlésien le pousse et se prend un carton jaune. L'arbitre appelle ensuite Nico Leblanc, pour lui dire je ne sais quoi, avant que notre capitaine se replace dans la surface pour le coup franc. Avant que l'arbitre n'ait eu le temps de siffler, un arlésien tombe (sûrement déséquilibré par un coup de vent), l'arbitre appelle Nico et sort le rouge. Stupéfaction dans les tribunes. Franchement ce n'est vraiment pas le caractère de Nico de faire des fautes de ce genre et je doute qu'il ai poussé le joueur arlésien. Une fois le coup-franc tiré et sorti en corner, c'est au tour de Durand d'être appelé par l'arbitre. Puis son arbitre assistant l'appelle pour lui dire faire remarquer que des ramasseurs de balle joue avec des balles de jonglage. Ces dernières confisquées et le match peut enfin reprendre après 4 minutes d'arrêts de jeu en moins de 5 minutes (d'où les 6 minutes de temps supplémentaires en fin de match). N'Gweth qui devait rentrer après le but de Camacho, ne rentra finalement pas vu l'expulsion de Nico. C'est donc Weis qui rentra pour solidifier la défense pour ces 30 dernières minutes. Moukoko qui rentra quelques minutes plus tard vit jaune très rapidement après avoir empêché un joueur local d'exécuter son coup-franc. Quelques secondes plus tard, ce fut au tour de Coquio de se voir avertir. En voulant sortir le ballon de notre camp, il le poussa trop loin, et l'arbitre vit d'un mauvais ≈ìil son tâcle en avant pour le récupérer. Jeu dangereux effectivement mais quelques minutes plus tard l'arbitre (il était d'ailleurs supervisé) tomba bien dans la panneau d'un défenseur arlésien qui en rajouta beaucoup. En voulant se dégager, il glissa à côté de Coquio, qui essaya de récupérer le ballon. Entre temps, le défenseur local s'était relevé avant de retomber de suite d'une manière peu convaincante.
A neuf contre onze, l'équipe joua encore plus regroupée en défense, les Arlésiens faisant circuler le ballon comme des handballeurs à 20 mètres des buts de Yo. La défense faisant bloc, le ballon circulait d'un côté à l'autre, sans que personne ne trouve une solution de frappe. Quelques fois la défense faillit céder mais elle résista quand ce n'est pas Yo qui la rassurait en captant d'importants ballons aériens. . Yo qui avait été décisif quelques minutes plus tôt sur une frappe à bout portant d'un arlésien, après un bel une-deux.
Après six longues minutes d'arrêts de jeu, l'arbitre délivrait enfin les Rouges et Blancs qui n'eurent même pas l'occasion de nous saluer, les esprits s'échauffant légèrement. Il est vrai que cette défaite doit être dur à avaler pour les locaux qui n'ont pas démérités. Les Rouges et Blancs ont fait preuve de courage et de solidarité afin d'obtenir cette victoire dans la difficulté. Dommage cependant que l'équipe termine à 9.
Malheureusement il ne contrôla pas le ballon de la meilleure des manières et ne put armer sa frappe comme il le désirait. D'ailleurs c'est un défenseur, revenu sur lui qui poussa le ballon que le gardien local capta sans problème. Dommage, mais ce but aurait été à l'encontre de la physionomie du match. L'équipe d'Arles sortait vainqueur de plus de duels, arrivait mieux à poser son jeu en jouant rapidement, mais elle n'arrivait cependant pas à se créer de grosses occasions. Les Croix de Savoie répondaient par une belle solidarité défensive, en se montrant très sérieux dans leur placement (à noter que Dino évoluait en défense à la place qu'occupe généralement Romain Chevrier, ce dernier ayant pris la place occupée normalement par Dino, au milieu).
Le tournant du match eut lieu un quart d'heure après la pause avec ce penalty accordé au FCS 74. A partir de ce moment, on ne compris plus grand chose à l'arbitrage. Coquio faisait le spectacle entre trois défenseurs locaux, dans un espace très restreint puis un arlésien se retrouvait à terre dans le coin de la surface et puis là penalty. Tous les supporters du FCS 74 se regardèrent avec étonnement et retinrent un peu leur joie lorsque Camacho transforma le penalty.
Engagement d'Arles. L'arbitre le fait rejouer car les locaux ont joué trop vite. Sur le nouvel engagement, Dino fait une faute le long de la ligne de touche, un milieu arlésien le pousse et se prend un carton jaune. L'arbitre appelle ensuite Nico Leblanc, pour lui dire je ne sais quoi, avant que notre capitaine se replace dans la surface pour le coup franc. Avant que l'arbitre n'ait eu le temps de siffler, un arlésien tombe (sûrement déséquilibré par un coup de vent), l'arbitre appelle Nico et sort le rouge. Stupéfaction dans les tribunes. Franchement ce n'est vraiment pas le caractère de Nico de faire des fautes de ce genre et je doute qu'il ai poussé le joueur arlésien. Une fois le coup-franc tiré et sorti en corner, c'est au tour de Durand d'être appelé par l'arbitre. Puis son arbitre assistant l'appelle pour lui dire faire remarquer que des ramasseurs de balle joue avec des balles de jonglage. Ces dernières confisquées et le match peut enfin reprendre après 4 minutes d'arrêts de jeu en moins de 5 minutes (d'où les 6 minutes de temps supplémentaires en fin de match). N'Gweth qui devait rentrer après le but de Camacho, ne rentra finalement pas vu l'expulsion de Nico. C'est donc Weis qui rentra pour solidifier la défense pour ces 30 dernières minutes. Moukoko qui rentra quelques minutes plus tard vit jaune très rapidement après avoir empêché un joueur local d'exécuter son coup-franc. Quelques secondes plus tard, ce fut au tour de Coquio de se voir avertir. En voulant sortir le ballon de notre camp, il le poussa trop loin, et l'arbitre vit d'un mauvais ≈ìil son tâcle en avant pour le récupérer. Jeu dangereux effectivement mais quelques minutes plus tard l'arbitre (il était d'ailleurs supervisé) tomba bien dans la panneau d'un défenseur arlésien qui en rajouta beaucoup. En voulant se dégager, il glissa à côté de Coquio, qui essaya de récupérer le ballon. Entre temps, le défenseur local s'était relevé avant de retomber de suite d'une manière peu convaincante.
A neuf contre onze, l'équipe joua encore plus regroupée en défense, les Arlésiens faisant circuler le ballon comme des handballeurs à 20 mètres des buts de Yo. La défense faisant bloc, le ballon circulait d'un côté à l'autre, sans que personne ne trouve une solution de frappe. Quelques fois la défense faillit céder mais elle résista quand ce n'est pas Yo qui la rassurait en captant d'importants ballons aériens. . Yo qui avait été décisif quelques minutes plus tôt sur une frappe à bout portant d'un arlésien, après un bel une-deux.
Après six longues minutes d'arrêts de jeu, l'arbitre délivrait enfin les Rouges et Blancs qui n'eurent même pas l'occasion de nous saluer, les esprits s'échauffant légèrement. Il est vrai que cette défaite doit être dur à avaler pour les locaux qui n'ont pas démérités. Les Rouges et Blancs ont fait preuve de courage et de solidarité afin d'obtenir cette victoire dans la difficulté. Dommage cependant que l'équipe termine à 9.